La première séance du séminaire « La religion à l’écran » aura lieu le 22 novembre prochain, de 16h à 19h : « Hassidim au cinéma : représentations des Juifs et Juives hassidiques dans le cinéma québécois » – projection du film Félix et Meira (Maxime Giroux, QC, 2014) et table-ronde.
Déroulement de la séance :
16h
Projection du film Félix & Meira (Maxime Giroux, QC, 2014)
17h45
Table-ronde animée par Valentina Gaddi (UdeM), avec :
– Alexandre Laferrière, co-scénariste
– Jessica Roda, Georgetown University
– Ruchy Wieder, membre hassidique non affiliée.
Cette séance aura lieu le 22 novembre prochain de 16h à 19h, simultanément à l’université de Montréal et (en webconférence) à l’université de Sherbrooke :
– Université de Montréal, Carrefour des arts et des sciences, salle C-1017-02;
– Université de Sherbrooke, Campus central, local A7-235 – retransmission de la table-ronde par vidéoconférence.
Entrée gratuite
Renseignements et inscription : sara.teinturier@usherbrooke.ca
Cet événement à été organisé en partenariat avec le CRIDAQ, l’équipe Pluradical, la Chaire de Recherche Droit, religion, société de l’Université de Sherbrooke et le Collectif Judéité(s).
Séminaire « La religion à l’écran » (organisation : Valentina Gaddi, UdeM ; Sara Teinturier, UdeS)
La liste est longue de ces films, séries TV et documentaires qui, d’une manière ou d’une autre, mettent à l’écran l’expérience vécue de la religion et de la spiritualité.
Ce séminaire annuel entend explorer quelques-uns de ces enjeux lors d’un cycle de quatre conférences qui auront lieu entre novembre 2018 et mai 2019, en alternance à l’Université de Montréal et l’Université de Sherbrooke. Il propose pour chaque séance la diffusion d’une œuvre cinématographique ou télévisuelle (fiction ou documentaire), suivie d’un débat entre acteurs du milieu, réalisateurs et universitaires, afin de croiser les perspectives sur les enjeux de représentations contemporains autour du religieux, des communautés et des individus croyants. La construction des mises en récits, leur circulation, et leur réception, aussi bien par les directeurs ou scénaristes que par les principaux intéressés rendus visibles sur les écrans, sont autant d’indicateurs de compréhensions particulières et situées du religieux et du spirituel à l’époque contemporaine.